Coleoptera > Coccinellidae > Harmonia
Harmonia axyridis in copula: vues en Alsace, en Juin dernier. La femelle présente une forme et couleur que nous ne connaissions pas:
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mardi 25 juillet 2017
lundi 26 juin 2017
Coccinelle 18 points, Harmonia axyridis
Coleoptera > Coccinellidae > Harmonia
Une des colorations de la coccinelle Asiatique, Harmonia axyridis, notre spécimen , vu en bordure des marais salants de Guérande, affiche 18 points, si nous avons bien compté; peut-on dire octodecimguttata pour Harmonia axyridis ?
Une des colorations de la coccinelle Asiatique, Harmonia axyridis, notre spécimen , vu en bordure des marais salants de Guérande, affiche 18 points, si nous avons bien compté; peut-on dire octodecimguttata pour Harmonia axyridis ?
mercredi 7 septembre 2016
La Coccinelle à vingt-deux points, Psyllobora vigintiduopunctata - la larve
Coleoptera > Coccinellidae > Psyllobora
Toujours sur les lupins du jardin, peu de temps après avoir surpris cette série de Coccinelles à vingt-deux points, Psyllobora vigintiduopunctata in copula, nous avons aperçu les larves que nous vous présentons ci-dessous:
Seuls les œufs et les pupes ont échappé à nos observations...
Toujours sur les lupins du jardin, peu de temps après avoir surpris cette série de Coccinelles à vingt-deux points, Psyllobora vigintiduopunctata in copula, nous avons aperçu les larves que nous vous présentons ci-dessous:
Seuls les œufs et les pupes ont échappé à nos observations...
vendredi 2 septembre 2016
La Coccinelle à vingt-deux points, Psyllobora vigintiduopunctata,
Coleoptera > Coccinellidae > Psyllobora
In copula, voici la Coccinelle à vingt-deux points, Psyllobora vigintiduopunctata.
La Coccinelle à vingt-deux points a la particularité d'être l'unique espèce dans le genre Psyllobora. Psyllobora vigintiduopunctata est utile au jardin, elle se nourrit exclusivement d'oidium. Elle est de très petite taille: 3mm. Nous les observons régulièrement sur les lupins du jardin, (Lupinus de la famille des Fabaceae). Fin Juillet, ces Lupins se sont brutalement couverts d'oidium, et sont apparues ces petites Coccs jaunes. Certaines ont un protonum jaune, d'autres l'ont blanc??? il semble que celui qui a le protonum blanc soit le mâle, mais rien de précis à ce sujet dans la littérature...
Note au sujet de la dernière photo: lorsqu'elles sont stressées, leur moyen de défense consiste à "tout lâcher" et à partir à la renverse, elles disparaissent ensuite entre les herbes au niveau du sol, il est bien difficile de les retrouver. J'ai loupé quelques clichés à cause de cette technique!
In copula, voici la Coccinelle à vingt-deux points, Psyllobora vigintiduopunctata.
La Coccinelle à vingt-deux points a la particularité d'être l'unique espèce dans le genre Psyllobora. Psyllobora vigintiduopunctata est utile au jardin, elle se nourrit exclusivement d'oidium. Elle est de très petite taille: 3mm. Nous les observons régulièrement sur les lupins du jardin, (Lupinus de la famille des Fabaceae). Fin Juillet, ces Lupins se sont brutalement couverts d'oidium, et sont apparues ces petites Coccs jaunes. Certaines ont un protonum jaune, d'autres l'ont blanc??? il semble que celui qui a le protonum blanc soit le mâle, mais rien de précis à ce sujet dans la littérature...
Note au sujet de la dernière photo: lorsqu'elles sont stressées, leur moyen de défense consiste à "tout lâcher" et à partir à la renverse, elles disparaissent ensuite entre les herbes au niveau du sol, il est bien difficile de les retrouver. J'ai loupé quelques clichés à cause de cette technique!
samedi 30 juillet 2016
Emergence d'une coccinelle
Coleoptera > Coccinellidae > Coccinella
Avant de présenter l'émergence, nous avons pu assister également (autre spécimen) à la nymphose d'une larve, voir photos ci-dessous: ici nous sommes sur un mur blanc, la larve se "ventouse" sur le mur, tête en bas, et devient pupe progressivement. De teinte jaune clair au début, pour tourner au noir et orangé quelques minutes plus tard. Note: en grossissant la photo (3), on aperçoit très nettement les élytres et le protonum y compris les contours des points noirs.
Peu de temps après, vers midi nous avons la chance d'assister à l'émergence d'une coccinelle (Coccinella septempunctata), et de voir apparaître progressivement les sept points de ses élytres. Fréquence des déclenchements: une photo toutes les dix minutes environ, de façon à percevoir la transformation:
Avant de présenter l'émergence, nous avons pu assister également (autre spécimen) à la nymphose d'une larve, voir photos ci-dessous: ici nous sommes sur un mur blanc, la larve se "ventouse" sur le mur, tête en bas, et devient pupe progressivement. De teinte jaune clair au début, pour tourner au noir et orangé quelques minutes plus tard. Note: en grossissant la photo (3), on aperçoit très nettement les élytres et le protonum y compris les contours des points noirs.
Peu de temps après, vers midi nous avons la chance d'assister à l'émergence d'une coccinelle (Coccinella septempunctata), et de voir apparaître progressivement les sept points de ses élytres. Fréquence des déclenchements: une photo toutes les dix minutes environ, de façon à percevoir la transformation:
Au dessus , la pupe, nous avons assisté à l'émergence, et vu la coccs faire des efforts répétés pour s'extraire de l'exuvie, mais l'APN était un peu loin pour fixer sa progression...Il est à noter que la coccinelle progresse "tête en bas", et parvient à se redresser au moment ou elle est totalement libérée, et à grimper sur l'exuvie, comme si elle avait besoin de ne pas s'en éloigner tout de suite:
Images du dessous, les points noirs apparaissent:
Dernière image, pratiquement trois heures plus tard, les points noirs sont bien visibles, seule la couleur des élytres reste un peu claire, cette fois on s'éloigne de l'exuvie, en route vers la nouvelle vie!
lundi 1 décembre 2014
Chilocorus renipustulatus - nymphe, larve et Imago
Coleoptera > Coccinellidae > Chilocorus
Trouvaille intéressante qui remonte à ce début Octobre: tout d'abord nous découvrons ceci dans notre haie, des sortes d'exuvies séchées à épines, et en cherchant à identifier qui pouvait bien émerger de ces exuvies, sur le site d' Alain Ramel, une piste sèrieuse: il pourrait s'agir d' une "Dépouille larvaire et nymphale de Coccinelle Chilocorus renipustulatus, prédatrice des Cochenilles du Fusain Unaspis enonymi".
Ce n'est pas le fait du hasard, l'arbuste de la haie plante hôte de ces dépouilles larvaires se trouve être un fusain du Japon (Euonymus japonicus) de la famille des Celastraceae. Et en en y regardant de plus près, le dit fusain est envahi par de petites larves blanches de Cochenilles, Unaspis enonymi, qui au passage attaque également les Camélias; voir ci-dessous les larves minuscules trouvées sur les feuilles, en ce mois d'Octobre:
C'est super d'avoir à la fois la peste et son prédateur, sur le même site... Que la nature fasse le reste!
Trouvaille intéressante qui remonte à ce début Octobre: tout d'abord nous découvrons ceci dans notre haie, des sortes d'exuvies séchées à épines, et en cherchant à identifier qui pouvait bien émerger de ces exuvies, sur le site d' Alain Ramel, une piste sèrieuse: il pourrait s'agir d' une "Dépouille larvaire et nymphale de Coccinelle Chilocorus renipustulatus, prédatrice des Cochenilles du Fusain Unaspis enonymi".
Ce n'est pas le fait du hasard, l'arbuste de la haie plante hôte de ces dépouilles larvaires se trouve être un fusain du Japon (Euonymus japonicus) de la famille des Celastraceae. Et en en y regardant de plus près, le dit fusain est envahi par de petites larves blanches de Cochenilles, Unaspis enonymi, qui au passage attaque également les Camélias; voir ci-dessous les larves minuscules trouvées sur les feuilles, en ce mois d'Octobre:
Et l'Imago était là aussi, en cherchant bien, il s'est mis à l'œuvre aussitôt émergé?
C'est super d'avoir à la fois la peste et son prédateur, sur le même site... Que la nature fasse le reste!
mardi 29 juillet 2014
La coccinelle des légumineuses, Subcoccinella vigintiquatuorpunctata
Cloeoptera > Coccinellidae > Subcoccinella
On peut également l'écrire ainsi: Subcoccinella 24-punctata
Trouvé cette petite discrète en mai à Guérande (LA); minuscule (3 mm maxi), elle est orangée de A à Z, (tête, antennes et pattes); elle est phytophage et adore les Fabaceae ainsi que bien des légumineuses, d'où son nom vernaculaire: La coccinelle des légumineuses, Subcoccinella vigintiquatuorpunctata.
Notre spécimen présente au moins 24 points dont certains fusionnés; elle est en train de se nourrir en grignotant la partie velue de cette feuille.
On peut également l'écrire ainsi: Subcoccinella 24-punctata
Trouvé cette petite discrète en mai à Guérande (LA); minuscule (3 mm maxi), elle est orangée de A à Z, (tête, antennes et pattes); elle est phytophage et adore les Fabaceae ainsi que bien des légumineuses, d'où son nom vernaculaire: La coccinelle des légumineuses, Subcoccinella vigintiquatuorpunctata.
Notre spécimen présente au moins 24 points dont certains fusionnés; elle est en train de se nourrir en grignotant la partie velue de cette feuille.
mercredi 31 juillet 2013
Coccinelle de la Bryone, Henosepilachna argus
Taille imposante, (7 à 8 mm?), elle cherchait à se nourrir le long d'un vieux mur, sur des feuilles de lierre et de Bryone dioïque, Bryonia dioica. Le protonum est entièrement orange, sans aucune tache, les élytres oranges comportent 6 taches noires chacune, deux d'entre elles semblent fusionner au centre, les pattes sont oranges il s'agit de la Coccinelle de la Bryone, Henosepilachna argus. C'est une coccinelle qui ne se nourrit pas de pucerons mais uniquement de la bryone dioïque (Bryona dioica):
Ne pas la confondre avec la Coccinelle à 24 points, Subcoccinella vigintiquatuorpunctataque nous présentions en Avril 2013, cette dernière est de plus petite taille, possède une tache noire sur le protonum, et ... 24 points.
Répartition: selon les statistiques, on trouve Henosepilachna argus dans la Manche, sur les bryones mais également les melons; nos specimen ont été vus en Loire-Atlantique, en périphérie de Guérande.
Nous ajoutons ci-dessous une image de la plante hôte, Bryonia dioica, plante toxique pour l'homme, que nous traiterons plus tard:
Sauf erreur, le hasard faisant parfois bien les choses, nous avons également trouvé la larve de Henosepilachna argus, cachée sous une feuille de Berce du Caucase, Heracleum montegazzianum; et elle n'était pas seule:
Ne pas la confondre avec la Coccinelle à 24 points, Subcoccinella vigintiquatuorpunctataque nous présentions en Avril 2013, cette dernière est de plus petite taille, possède une tache noire sur le protonum, et ... 24 points.
Répartition: selon les statistiques, on trouve Henosepilachna argus dans la Manche, sur les bryones mais également les melons; nos specimen ont été vus en Loire-Atlantique, en périphérie de Guérande.
Nous ajoutons ci-dessous une image de la plante hôte, Bryonia dioica, plante toxique pour l'homme, que nous traiterons plus tard:
Sauf erreur, le hasard faisant parfois bien les choses, nous avons également trouvé la larve de Henosepilachna argus, cachée sous une feuille de Berce du Caucase, Heracleum montegazzianum; et elle n'était pas seule:
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